Dures retrouvailles
J’avais pris un long bain moussant aux chandelles, flûte de champagne à la main. J’adore m’offrir ces petits plaisirs le vendredi soir. Sacro saint vendredi où il est interdit de rester chez soi. J’en fais presque ma religion. J’étais passée prendre des fraises, du chocolat et du champagne un peu plus tôt et m’étais promis de regarder les derniers épisodes de ma télé série préférée ou encore de dévorer un bon roman.
J’étais maintenant vêtue d’un joli peignoir satiné, les cheveux à moitié mouillés et les doigts un peu plissés de ce long repos sous l’eau. La sonnette de mon appartement retentit avant même que j’ais eu l’occasion de m’installer confortablement dans mon salon. Sans grande inquiétude, j’ouvrit la porte et aperçu un vieil ami avec qui j’avais entretenu une relation charnelle. On ne s’était pas vu depuis des lunes, sa carrière l’ayant envoyé en Europe pour quelques années. Je le saluai, tout sourire, extrêmement heureuse de le revoir.
Sans dire un mot, il m’empoigna par la taille, me fracassa timidement, mais solidement contre le mur du passage et d’un seul coup, me dénuda complètement de mon peignoir. J’étais à mi-chemin entre l’excitation et la honte de me retrouver ainsi complètement nue devant celui qui m’avait tant fait jouir.
Il faisait aller de mouvements précis ses doigts entre mes fesses tout en maintenant ma tête bien prise contre le mur. J’étais prisonnière de ses grandes mains et je me savais désormais à sa merci. Sans prévenir, il me reprit brusquement et me retourna pour accoter mon dos contre la porte froide. Il palpa avec vigueur mes gros seins et pinçait fortement mes mamelons. Cette douleur m’excitait à tel point que j’en étais complètement mouillée.
Mon sexe réclamait le sien et lui qui connaissait tant mon impatience continuait sans relâche de m’agacer ainsi jusqu’à ce que j’en pousse un petit cri de colère. Mécontent de ma contrariété, il m’empoigna avec une force telle que je me suis retrouvée en moins de deux sur le dos, captive de son magnifique mais imposant corps. Il m’empoigna à la gorge d’une main tout en continuant de chatouiller mon sexe toujours impatient. Je devenais de plus en excitée mais mon amant prenait un malin plaisir à retenir ma jouissance. Je le suppliais désormais de faire pénétrer son délicieux sexe en moi.
D’un geste brusque, il me retourna sur le ventre, me donna une vigoureuse poussée dans le dos, releva mes fesses et me pénétra d’un coup entre celles-ci. Je poussai un cri de surprise et entendit son petit rire malicieux. Il plaça ses doigts sur mon sexe tout en exerçant un mouvement calculé de va-et-vient avec sa queue. En quelques minutes à peine, j’explosai littéralement sous ses yeux satisfaits et mon amant éjacula tout son désir sur mes fesses rondes et dures.
J’étais maintenant vêtue d’un joli peignoir satiné, les cheveux à moitié mouillés et les doigts un peu plissés de ce long repos sous l’eau. La sonnette de mon appartement retentit avant même que j’ais eu l’occasion de m’installer confortablement dans mon salon. Sans grande inquiétude, j’ouvrit la porte et aperçu un vieil ami avec qui j’avais entretenu une relation charnelle. On ne s’était pas vu depuis des lunes, sa carrière l’ayant envoyé en Europe pour quelques années. Je le saluai, tout sourire, extrêmement heureuse de le revoir.
Sans dire un mot, il m’empoigna par la taille, me fracassa timidement, mais solidement contre le mur du passage et d’un seul coup, me dénuda complètement de mon peignoir. J’étais à mi-chemin entre l’excitation et la honte de me retrouver ainsi complètement nue devant celui qui m’avait tant fait jouir.
Il faisait aller de mouvements précis ses doigts entre mes fesses tout en maintenant ma tête bien prise contre le mur. J’étais prisonnière de ses grandes mains et je me savais désormais à sa merci. Sans prévenir, il me reprit brusquement et me retourna pour accoter mon dos contre la porte froide. Il palpa avec vigueur mes gros seins et pinçait fortement mes mamelons. Cette douleur m’excitait à tel point que j’en étais complètement mouillée.
Mon sexe réclamait le sien et lui qui connaissait tant mon impatience continuait sans relâche de m’agacer ainsi jusqu’à ce que j’en pousse un petit cri de colère. Mécontent de ma contrariété, il m’empoigna avec une force telle que je me suis retrouvée en moins de deux sur le dos, captive de son magnifique mais imposant corps. Il m’empoigna à la gorge d’une main tout en continuant de chatouiller mon sexe toujours impatient. Je devenais de plus en excitée mais mon amant prenait un malin plaisir à retenir ma jouissance. Je le suppliais désormais de faire pénétrer son délicieux sexe en moi.
D’un geste brusque, il me retourna sur le ventre, me donna une vigoureuse poussée dans le dos, releva mes fesses et me pénétra d’un coup entre celles-ci. Je poussai un cri de surprise et entendit son petit rire malicieux. Il plaça ses doigts sur mon sexe tout en exerçant un mouvement calculé de va-et-vient avec sa queue. En quelques minutes à peine, j’explosai littéralement sous ses yeux satisfaits et mon amant éjacula tout son désir sur mes fesses rondes et dures.
27 commentaires:
Jte l'avais dit que les infortunes de la Belle sauraient au moins te soutirer quelques idées osées !
Je le lis même pas, j'aime pas ça. Ça m'endort. Trop de description, trop long... Moi, je préfère le right to the point. ;-)
@Scuba: Elle trouve que le rpince manque de respect envers la belle!!!! Moi je pense que si elle persévererait elle adorerait!!!!
Ben tsé, c'est hardcore au bout mais la fille a 15 ans, est vierge pis elle connait rien. Moi, y a commme quelque chose qui me gosse....
Vous avez pas de moral.
Euh! Je suppose que vous avez escamoté l'épisode de la mise du condom, mais qu'il était bien là.
@Fairy: C'est ce que je lui ai dis. Mais c'est vrai qu'il y a beaucoup de détails. Faut aimer Anne Rice!
En passant, dans le ventre de la Fée c'est pas vraiment mon genre...
@femme libre: :-p
Sors pas ta langue comme ça! Tu me fais penser à Fairy.
moi je sors la langue de facon maladive a ce qu'il parait!!!!
Voulez-vous bien régler vos affaires sur msn et laisser mon espace vierge de vos chicanes :-p
C'est un espace vierge ici ?
@Francis: c'est un espace pur, chaste et ça sent la poudre de bébé. Alors, je sais pas où vous prenez ça vos histoires de moeurs légères, moi j'ai rien fait.
En effet, il faut être dans le mood pour lire les Infortunes!! Ceci dit, les deux livres après le 1 sont, quelque fois, plus rapide sur le sujet... Mais si tu aime pas ses longues descriptions, ne va jamais lire Exit to Eden! ;)
... Pour en revenir au texte maintenant, si on pouvait tous avoir un retour du passé comme ça...
@amadéo: Alors peut-être ne suis-je pas dans le bon mood pour lire ça mais je trouve ça profondément ennuyant...
Pour le texte lui-même, il s'agit évidemment d'une fiction, étant quasiment une sainte. ;-)
Tu vois, j'ai toujours dit que les pire insanité venait toujours de l'esprit des pures...
J'en sais quelque chose, j'en suis un!
Mais fiction ou pas, ça rejoint mon propre mood du moment ;) Bravo!
@amadéo: je note bien la date et l'heure à laquelle j'ai été traitée de pure, j'ai trop peur que ça ne se reproduise jamais. :-p
Tout dépends de la définition de pure qu'on les gens j'imagine! Je sais que la mienne est zarbi alors... Mais content d'avoir marquer ton calendrier!
Une premiere sur ton blogue, une derniere aussi, trop d'chicane de moronne, gang de bébé lala !!!
Mon père est anyway plus fort que le tien anonyme fauqe ta Yeule.... B-A-N-A-N-E!!!!
@Anonyme: J'espère que tu ne prends pas de ton précieux temps de princesse pour écrire à toute les fois que tu trouve un blogue pas à ton goût! De toute façon té rien qu'un MAUVIETTE Mac Fly!
@mes moronnes: moi je vous aimes ;-)
j'aime bien cette histoire... je vais revenir sur ton blogue pour sur lolll ;)
pour ce qui est de tout ces etres anonymes qui laissent des commentaires épais... si je puisse me permettre de dire quelque chose... il sont bon pour juger, mais sont crissement jamais capable de s'assumer en s'affichant, pis c'est drole comme il lise quand meme le blog et prenne la peine de laisser un commentaire meme si il dise ne pas aimer le blog.. t'aime pas tu passes ailleurs non... entk.. dsl ca fait du bien! lol
Solide!
c'est de la fiction (?) bien ressentie ça....
un excellent texte miss.
pour ce qui est des Infortunes de la Belle, je l'ai trouvé plutôt moyen moi aussi, disons que je l'ai lu en diagonale et je me suis attardée aux bouts (ahem) croustillants.
ça fait changement du Coup de Pouce, au moins...
(je disais ça comme ça, pas que je lise le Coup de Pouce ou quoi que ce soit, là...)
J'aimerais bien avoir ton talent pour écrire et décrire dans les détails ma nuit "chaude" d'hier avec madame V!... Et oui!!! J'AI BAISÉE!!! (plus d'une fois en plus...)
J'ai comme peur d'avoir l'air ridicule, ou de rendre banal ce qui a été extraordinaire... Une pudeur, je sais pas trop... Tu donnes des cours?
;)
Merci
Pepper
xx
@la p'tite frisée: c'est malheureusement tout à fait fictif... mais c'est un fantasme. J'aime bien me faire prendre par surprise ;-)
@Pepper: oh ma cochonne!!! Coudonc, ça s'attrape l'homosexualité on dirait bien. Je vais définitivement aller habiter chez vous incessemment ;-)
Enfin du sexe explicite sur un blog. Je vais revenir lire des fois.
- un lapin cochon (ca se dit tu?)
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