S'envoyer en l'air
C’est officiellement l’été. La saison du soleil, des terrasses, du plein air et la saison de la liberté. Sortir, s’enivrer, bouger…
Après une brève période de réflexion la semaine dernière et une pressante recherche d’approbation auprès des gens que j’aime, j’ai à nouveau choisi d’appuyer sur l’accélérateur, de fermer mes yeux bien dur et de foncer vers le bonheur. Mon bonheur. Pas le bonheur prêt-à-porter ou tout autre bonheur préfabriqué qui manifestement ne me conviennent pas. Non. Un bonheur concocté sur mesure pour la débile-profonde que je suis.
Bien que je sache très bien qu’il n’y ait aucune malice dans les propos des gens autour de moi lorsqu’ils supposent que je vis « en attendant » d’avoir ce qu’il faut pour cadrer dans le parfait modèle de bonheur chum-maison-bébés, j’ai choisi récemment de non seulement y faire abstraction dans mes choix mais également d’en parler ouvertement. Et si ça n’arrivait pas? Et si ce n’était pas fait pour moi? On ne choisit pas toujours ce qui nous arrive dans la vie et à bien y penser, c’est pas mal du tout d’être surprise par celle-ci.
Évidemment, je ne me cache pas la tête dans le sable et suis tout à fait consciente du fait qu’il est fort probable que j’aurai à nouveau l’horloge biologique bruyante ou un désir profond de partager ma vie avec quelqu’un mais actuellement, je suis avare de liberté, de butinage et de découvertes multiples. Un week-end passé chez les miens au Lac-St-Jean, berçage et catinage à l’honneur, m’ont fait réaliser que j’ai tout intérêt à continuer de m’engourdir et de tourbillonner et que ces années où, non seulement le budget permet les folies mais que les contraintes de temps sont inexistantes, peuvent filer en douce sans qu’on ne s’en soit aperçu.
J’aurai 26 ans le 26 juillet. Cet été, je continuerai à explorer le monde sous-marin avec mes potes, j’irai camper, je mangerai du spaghetti sous la pluie, je mettrai du make-up et des talons hauts et irai faire la poule dans les 5 à 7, je boirai du rosé sur mon balcon et je profiterai de ma liberté. Cet été je vaincrai mes peurs, je m’envoierai en l’air et obtiendrai ma licence de parachutiste.
Après une brève période de réflexion la semaine dernière et une pressante recherche d’approbation auprès des gens que j’aime, j’ai à nouveau choisi d’appuyer sur l’accélérateur, de fermer mes yeux bien dur et de foncer vers le bonheur. Mon bonheur. Pas le bonheur prêt-à-porter ou tout autre bonheur préfabriqué qui manifestement ne me conviennent pas. Non. Un bonheur concocté sur mesure pour la débile-profonde que je suis.
Bien que je sache très bien qu’il n’y ait aucune malice dans les propos des gens autour de moi lorsqu’ils supposent que je vis « en attendant » d’avoir ce qu’il faut pour cadrer dans le parfait modèle de bonheur chum-maison-bébés, j’ai choisi récemment de non seulement y faire abstraction dans mes choix mais également d’en parler ouvertement. Et si ça n’arrivait pas? Et si ce n’était pas fait pour moi? On ne choisit pas toujours ce qui nous arrive dans la vie et à bien y penser, c’est pas mal du tout d’être surprise par celle-ci.
Évidemment, je ne me cache pas la tête dans le sable et suis tout à fait consciente du fait qu’il est fort probable que j’aurai à nouveau l’horloge biologique bruyante ou un désir profond de partager ma vie avec quelqu’un mais actuellement, je suis avare de liberté, de butinage et de découvertes multiples. Un week-end passé chez les miens au Lac-St-Jean, berçage et catinage à l’honneur, m’ont fait réaliser que j’ai tout intérêt à continuer de m’engourdir et de tourbillonner et que ces années où, non seulement le budget permet les folies mais que les contraintes de temps sont inexistantes, peuvent filer en douce sans qu’on ne s’en soit aperçu.
J’aurai 26 ans le 26 juillet. Cet été, je continuerai à explorer le monde sous-marin avec mes potes, j’irai camper, je mangerai du spaghetti sous la pluie, je mettrai du make-up et des talons hauts et irai faire la poule dans les 5 à 7, je boirai du rosé sur mon balcon et je profiterai de ma liberté. Cet été je vaincrai mes peurs, je m’envoierai en l’air et obtiendrai ma licence de parachutiste.
11 commentaires:
C'est une belle mise au point je trouve!! De toute façon.. être célibataire à 25 ou 26 ans c'est vraiment pas catastrophique!! De toute façon même si tu étais dans le moule couple-maison-bébé aujourd'hui rien ne garanti que tu le serais toujours demain! Alors vis ta vie comme elle est aujourd'hui. La vie passe vite... change vite... il faut en profiter tout simplement!
« Un bonheur concocté sur mesure pour la débile-profonde que je suis. » Ahhh, voilà! That's a girl ! Profites-en fort, ça nous donnera de la superbe lecture! ;)
profite de ta folle jeunesse fille! parce que quand ça te prends à 31 ans, tu passes pour une grande immature.
Profite chère !
Profite en bien! t'es encore jeune! :)
26 ans, 26 juillet. C'est ton année chanceuse !!!
Oui, je suis quétaine de même.
Et je ne vais pas te dire que parce que c'est ton année chanceuse (oui, je reviens avec ça) que tu vas nécessairement rencontrer quelqu'un de formidable, etc, etc. Peut-être.
Peu importe. Tu sembles bien partie pour avoir une belle année !
Profite de ta jeunesse, oui...
mais surtout, profite de la vie.
J'aime croire qu'on peut en profiter à tout âge.
C'est pas facile à construire, alors profites-en bien de ton bonheur-sur-mesure!! :-)
Voici l'Ex que je connais !! Bon retour ma belle, heureux de te revoir.
Puisque je vis la même liberté et que je concocte maintenant mon propre bonheur, j'approuve à 100% ;)
Fonce!
Je suis tombée ici de blog en blog... je ne sais rien de toi puisque celui-ci est le seul billet que j'ai lu à date... mais je voulais te dire ceci: PROFITES-EN!!!!!!!!!!!!!!!
C'est tellement COOL êtres dans sa vingtaine et être célibataire!!!! Moi j'ai tripper!!!! J'ai tout fait ce que je voulais.: voyages, sorties, achats, folies, etc... T'es en âge de choisir ce que tu veux, et t'as le droit de faire ce que tu veux, sans aucune restrictions familiale... c'est vraiment le temps d'avoir du FUN pour toi. Ce qui te fait plaisir.
Ton bonheur, quand c'est toi qui le construit, il prend la forme que tu veux, et de jour en jour, tu réalises que t'es bien... et ça se dégage.
Bon, ça y'est. Je me sens vieille tout d'un coup! J'ai l'air d'une vieille matante qui te donne des conseils. Ok, j'arrête!
Bonnes Folies!
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